Moi!!

Ça faisait longtemps

Quatre doigts se touchants,
Il est double, presque triple.
Un fort, un faible,
Un imperceptible
Même par moi.
Ont-ils vraiment existé,
Ces premiers quatre doigts qui forment
Un triangle difforme.
Ai-je vraiment continué,
Comme je l’affirme,
Ces deuxièmes quatre doigts,
Qui sans arrêt me perturbent,
Aspirant mes pensées logiques,
Les remplaçant par le doute,
L’angoisse et la confusion.
Ces troisièmes quatre doigts?
Rien a dire.
Ils font leur boulot,
Tout est clair,
Ça faisait longtemps…



C

Je m’ennuie.
24 heures, trop long.
Du ski, du snow? Je sais plus…
Tout ce qu’il faut pour me faire dépressionner.
Tu es mon café du matin,
Et oui, je suis caféinoman!
Sautes d’humeur, étourdissement,
Autant de symptômes du manque de café
Que de manque de ces troisièmes doigts qui s’entre touchent.
Doigts qui me manques.
Un signe,
Les profs ne comprennent rien.
La star vénérée baise mon prof de français…
Troublant vous dites?
Oui.
Aie, petits doigts,
le troisième,
oui, toi,
je t’aime.





Trop mêlé pour avoir un titre


Dans la journée,
Le couteau vous tombe sur l’orteil.
Aille vous dites,
Calis j’ai dit.
La mousse, le pvc,
C comme dans C,
Les doigts.
Qui croisent et touchent leurs ongles.
Coupe-les.
Ils t’empêchent de faire le signe comme il faut.
Ce signe. Oiseau blanc.
Mot a double sens, H
H : drogue utilisée pour la coupe du bois.
La lecture est le mal.
Comprendre est pire.
Comprendre entraîne un mal.
S’entraîner. La guerre.
Comme dans ces jardins de France.
Haine, jalousie?
Je ne sais pas. Je me contrôle.
Aurais-je du le taper?
Non.
Mon cerveau est mêlé.
J’extériorise,
Matérialise mes pensées.
Ne comprenez pas.
N’essayez même pas.
Vous sombrerez dans les ténèbres.
MES ténèbres.
C’est blanc,
Paradoxal, mêlé.
Heureusement. Car C est la..
Omniprésente.
Les doigts qui se touchent voient tout!!
Faites attention.
Le mal est a l’understand.
Under… sous… saoul.
Comme frapper le jemepense des sables.
Mais les sables sont gentils, ils brillent.
Comme mes yeux quand je te regarde.

Le café


Des pensées,
Des n’importe quoi,
Moi.
Tu es ma muse.
Muse… drôle de mot.
Les mot forment des énigmes a résoudre.
Chaque phrase a son mystère.
Le Queen,
Bon.
La reine,
Je ne sais pas.
L’Angleterre m’est inconnu.
Même si mon gilet en est imprégné.
Se tenir éveillé est essentiel.
Je te parle.
Je t’aime.
Le café est bon.
Caféinoman accroc.
Goûte, Nabob.
Goûte.

Ça défile


J’ai tellement de choses a dire…
Ça défile trop vite, trop souvent.
Alors je les oubli.
Ils sombrent dans les ténèbres de mon esprit.
Se mêlent et s’entremêlent avec ses fibres psychédélique.
Le monde aurait sans doute aimé voir ces choses.
Les lire.
Les comprendre.
Mais comprendre est impossible.
Messages subliminaux, peut-être.
Comme dans Queen.
Le sable. Le pot.
Écouter n’est pas tout.
Il faut savoir,
Le savoir est la clé de l’humanité.
La clef! Qui sert a lire la musique
Pour enfin comprendre.
Comprendre mais souffrir.
Souffrir? Non.
Réaction inattendue.
L’ai-je dit?
Peut-être.
Ça défile.
Trop vite, trop souvent.
Je le perd, il s’enfonce.
Plus creux.
Creusez.
Retrouvez ce bout de mon esprit perdu
pour comprendre,
Peut-être même savoir.
Pour avoir la clef.

Violence & Ignorance


Je suis cannibale,
Je te dévore des yeux.
J’oublie…
Influence, inspiration,
Inspirer comme dans respirer,
Tu me fait vivre.
Ma colère est imperceptible.
Imprenable.
Dans ces jardins de France,
Tu m’appelle,
Mais je le frappe.
Une fois de plus, une fois de trop.
Ce village rival de gentils barbares,
Qui m’attaquent sans cesse,
M’insultent, m’atteignent.
Une fois de plus, une fois de trop.
Encore, et ce seras la fin.
Lui, il ne comprendra pas.
Il auras mal.
Violent?
Non.
Réalise!!
La vie est cruelle, méchante et injuste.
Vous devez la modeler.
Ne vous intéressez pas aux insultes et sornettes des gens.
Ignorez, pour une fois.
Le savoir est la clef,
Ignorer ne veut pas dire ne pas savoir.

Malade


Je répète,
Je dis et redis sans cesse.
Bizarre?
Peut-être…
Mêlé?
Non.
Tout a un sens,
Un lien.
Imperceptible,
Presque inerte,
Ce soldat derrière l’arbre.
Le sang coule.
Rouge comme le coquelicot de ce jardin.
Effrayant,
Effroyable.
Les apparences sont trompeuses.
Vous croyez savoir?
Vous croyez avoir la clef?
Non.
Elle n’existe pas.
C’est un code.
Sortant d’un doigt,
Le pouce.
Doigt formant ce troisième devenue premier signe,
De ces quatre doigts qui s’entre touchent.





Inspiration


Aide-moi.
J’en manque,
J’en ai besoins.
Elle me vient de nul part,
Et de partout à la fois.
Tu me la fournie.
Quand tu es ‘’là’’,
Quand je te parle, je déborde,
Comme à cet instant.
Fournis moi ces images d’horreur ou de plaisir,
L’horreur de voir,
Ce propriétaire d’une moustache,
Aveuglé par la star vénérée,
Sucer des pénis imaginaires,
À côté de ce prof de français.
Ennui total.
Inutilité.
Que dis-je?
Que fais-je?
Aucune idée.
Je reste assi,
J’y suis obligé.
Ou ce plaisir, de penser,
De frapper,
Ce village barbare,
Rempli de jemepense des sables,
Avec une H.





Toi


Je t’aime tellement.
Que dire?
Je n’en sais rien…
Je doit l’extérioriser.
La chance…
Les chances…
Avoir ou ne pas avoir,
Tel est ma question…
Je cherche ces mots,
Folâtrant dans mon cerveau,
Expliquant quoi dire.
Qui me permettraient de me retrouver moi-même,
Dans ma propre tête.
Dans ces pensées abondantes,
Explosant toutes en même temps,.
Ces pensées que je tente de garder,
De comprendre.
J’ai peur.
Mon propre cerveau a pris le contrôle.
Il n’y a plus rien.
Seulement toi…

De mal en pire…


Vague,
Mouvement oscillatoire de l’eau…
Laisse-toi bercer.
Ce Flot de pensées mélangées et incompréhensibles,
Il est là.
C’est tout.
Monstres étranges,
Fibres entremêlées,
Dans la mie de ton pain.
Jésus est notre ami.
Religieux crack pot.
Retire ton doigt.
Le deuxième de cette combinaison symétrique,
Qui forme un signe.
Ce signe, te signifie.
Il est très explicite,
Pour moi en tout cas,
Mais il n’et pas seul.
Manque complet.
Le jemepense m’énerve…
Oui.
Je ne sais plus quoi te dire…
Nous ne nous parlons plus.
Dommage.
Te regarder quand tu parles,
Me donnait une raison de t’admirer…





Hasard


Hasard…
Événement inattendu,
Résultant d’une série de variables diverses,
Incalculables,
Imprévisibles,
Et même inconnues,
Que l’on ne peut contrôler.
Ce dernier a voulu que les choses soit ainsi.
Je dis ‘’Il’’.
Le hasard n’est pas conscient.
Il n’existe pas,
En quelques sortes.
Votre destinée est tracée.
Vous croyez pouvoir choisir,
Décider de votre vie?
Non. Tout vos choix sont là.
Écrits.
Prédéterminés.
Nostradamus…
Il lisait cette ligne.
Cette écriture du destin.
Il l’a compris.
Ça lui a fait mal.
Comprendre fait mal.
Un surplus,
Et c’est l’overdose.
Comprendre est une drogue humaine.
Notre curiosité a causé bien des pertes.
Mais cette dernière nous a amené ou nous sommes.
C’était écrit.
Pas sur du papier,
Mais c’est là.
Partout et nul-part à la fois.
Comme cette inspiration qui me manquait soudain.
Mais que j’ai retrouvé,
Je ne sais pourquoi.
Le hasard en a voulu ainsi.
Pour que je vous révèle ce qu’il y a,
Dans ce cerveau,
En désordre rangé.





Peur…


Ma plus grande peur?
Le refus.
Complètement maniaque et obsessif.
Cruel manque de confiance.
Je le cache,
Sous un voile clair.
Tout ce qui se passe dans ma tête…
Tout ce que je me dis.
Tout ce que je TE dis.
Je n’ose le dévoiler.
Trop flagrant,
Trop gênant,
Ou juste trop mêlé
Pour que je ne le comprenne moi même.
Heureux hasard,
Que d’avoir eu ce triste destin.

Brownies


Wawe!
Trop fort.
Inexact?
Ho non!!
J’ai peur…
Qu’est-ce qui va arriver?
Ai-je bien compris?
Manque flagrant.
Dites-le en claire merde!
Vie compliquée,
Complètement pèté…
Banc de neige.
Ouch,
Je n’ai rien senti.
Il a disparu!!
Qui?
Quand??
De toutes façons,
Il lui servira plus…
Le emo qui sent…
J’aime cette ôdeur.
Je déteste les emos…
Ils ne devraient pas sentir,
Ce trésor de malheur…
Déconseillé.
Régulez la température,
Mais jamais tiède,
Car vous aurez froid de la face.

Jalousie


Serre-moi,
Fais-moi sentir que j’existe.
Un mot, un geste,
Mais non.
Qui?
Jamais.
Jamais on ne fera attention à ça,
À moi…
Je ne peux les forcer mais…
J’avoue que j’aimerais bien.
Tellement seul, et pourtant si entouré…
Pourquoi lui?
Lui, il réussi.
Il ne le mérite pas,
N’en profite pas.
Il ne réalise pas,
Lui.

Déprime fantôme

Quel bonheur.
Tout va bien…
Sigh…
Non,
Ca va mal.
Pas tout,
Mais asser pour me déprimer
J’ai l’air d’un mur,
Un visage blanc,
J’ai l’air inatteignable.
Mais j’aimerais tellement,
Pouvoir dire aux gens
TA GEULE, VA CHIER!
CONNARD, VA TE SCUICIDER!
Et que ça compte…
J’aimerais être dans un jeu vidéo,
Où je pourrais apprendre de mes erreurs,
Et ensuite recommencer ma vie.
J’aimerais être un enfant,
Pour ne pas connaître toutes ces souffrances.
Souffrances qui me hantent,
Me font pleurer.
Larmes de joie?
Elles ne sont que le surplus de ma tristesse,
Qui s’extériorise dans mon rire.